Découvrez les effectifs complets pour les finales, masculine et féminine, de l’In Extenso Supersevens 2024 à Paris La Défense Arena (Crédits photos : Antoine Saillant).
Il y aura du beau monde à fouler la pelouse francilienne ce samedi. On commence par le tableau féminin avec pour cette première demi-finale entre clubs d’Auvergne-Rhône-Alpes, plusieurs joueuses internationales à 15 comme à 7. L’ASM Romagnat Rugby Féminin Sevens pourra notamment compter sur l’expérience d’Élise Pignot (XV de France Féminin, 11 sélections) et Julie Del Corral (championne du monde à 7 avec France Militaire et vainqueur du Challenge Sevens Féminin 2024) tandis que le LOU Rugby Sevens s’appuiera sur trois joueuses de France 7 Féminin, Cléo Hagel, Léa Trollier et Noa Coudre. Elles seront entourées, entres autres, par plusieurs internationales U20, Alizée Fourée, Eneka Labeyrie et Ophélie Gincourt, d’une internationale U18, Cassandra Leteur, d’une internationale universitaire, Victoire Foulon, et d’une joueuse de France 7 Développement, Mouna Touré.


Coéquipière avec France 7 Féminin depuis le début de saison, les Rennaises Valentine Lothoz et Suliana Sivi, et les Balbyniennes Hawa Tounkara, Hada Traore et la médaillée d’argent aux Jeux Olympiques de Tokyo 2021, Anne-Cécile Ciofani, s’affronteront dans cette deuxième demi-finale. Ces dernières seront accompagnées aussi par une jeune garde prometteuse avec les pensionnaires de France U18 à 15 et à 7 Iness Divine Zeze et Mariama Tandiang, les internationales U20 Margaux Dufros, Salomé Maran et Julie Coudert, ainsi que les membres de l’Académie Olympique, Mélanie Blanchard et Maëlig Ngassa-Manac’h. Le Bobigny 93 Sevens comptera aussi sur l’internationale argentine, Josefina Padellaro.


On retrouvera également plusieurs habitués du haut-niveau à 15 et à 7 dans les rangs masculins. Comme à leur habitude, les Monégasques se sont équipés pour cette finale en rappelant notamment Rosko Specman, le médaillé olympique sud-africain aux Jeux de Paris, déjà apparu lors des étapes estivales. Du côté des nouveautés, on notera la venue pour cette édition de l’Australien Simon Kennewell et de l’Américain Martin Iosefo, deux anciennes gloires des HSBC SVNS Series. C’est aussi le cas de Thomas Isherwood et Elia Hancock (Canada) et de Ratu Maisamoa (Fidji), qui ont auparavant foulé la pelouse du circuit mondial. Apparu un temps avec le Racing 92 dans cette compétition, Nikola Matawalu rejoint lui aussi la maison monégasque pour cet ultime rendez-vous. Les historiques Johan Demai-Hamecher, Ibai Leconte et Lancelot Luteau seront de leur côté bien évidemment présents. De leur côté, les Barbarians pourront compter sur leurs champions de l’année dernière à l’image d’Alexis Levron, de Farell Delourmel et de Paolo Parpagiola, mais aussi les champions du monde universitaires à 7 Antton Ducournau et Noé Blondeau, ainsi que l’international à 7 Guillaume Bouche.


Fanny depuis 2021, le Racing 92 sera à la recherche d’un succès à la maison. Cette année, ce seront les jeunes espoirs qui défendront le maillot ciel et blanc. Accompagnés par quelques expérimentés avec la présence de Rayne Barka, sensation avec la Section Paloise sur les saisons 2021 et 2022 notamment, et Henry Arundell, joueur régulier de l’équipe professionnelle arrivée en 2023 en banlieue parisienne. Pour sa première finale, le RC Vannes affiche ses ambitions en récupérant Enzo Benmegal, tout juste revenu de Perth, qui sera accompagné de son frère Alix. Teiva Jacquelain, ancien international à 7, mais aussi Saimone Qeleca, qui a longtemps fait tourner la tête aux défenses sur cette compétition sous les couleurs de Monaco, aideront eux aussi la maison bretonne. Des joueurs habitués au Top 14 avec le RCV comme Théo Costossèque, Thibaut Debaes et Jean Cotarmanac’h prendront également part à la fête.


Du côté de l’UBB, la continuité sera de mise puisque tous les joueurs ont participé aux étapes estivales de cette saison, à l’exception d’Enzo Reybier, aligné 5 fois en Top 14 cette saison. Les Bordelo-Béglais pourront s’appuyer sur l’expérience des frères Bouscasse Gabriel et Léonard, de Clarence Bienes, Lucas Toulouze et Nathan Gagnac, qui disputent leur troisième finale en trois ans. Le MHR s’est renforcé pour cette finale en appelant, outre Auguste Cadot déjà apparu cet été, l’ailier Madosh Tambwe qui retrouvera son ancien club. Apparus avec le Pays de Galles sur les anciens World Rugby Sevens Series, Iwan Pyrs Jones et Cole Swannack seront eux aussi de l’aventure, tout comme Benjamin Debetz, champion du monde universitaire à 7 à Aix-en-Provence l’été dernier.


La Section Paloise sort le grand jeu en ayant dans ses rangs le champion olympique Aaron Grandidier-Nkanang, les internationaux à 7 Grégoire Arfeuil et Josselin Bouhier, l’ex-international à 7 Nisié Huyard et les joueurs confirmés à XV que sont Aymeric Luc , Lekima Tagitagivalu et Clément Mondinat (champion du monde U20). Les Toulousains tenteront de rivaliser face à ce redoutable adversaire d’entrée avec une équipe semblable aux étapes estivales avec un mix de joueurs issus des espoirs du Stade Toulousain et de l’association Sevens Sud Garonne. On y retrouve malgré tout des joueurs expérimentés sur l’In Extenso Supersevens comme Matthieu Bassin, Ruben Courties, Inem Iskhavov, Darius Cassamajor et Florian Makaia.

